Aurélien Meimaris est né en 1990. Il vit et travaille à Marseille.
Le point d’ancrage de son travail est une réflexion relative au caractère incomplet et indirect de notre accès au réel. Que cette incomplétude et cette séparation soient déterminées par les limites de notre perception, par le filtre plus ou moins opaque de l’écran, par la médiation de l’image, par le mensonge du simulacre ou par le biais de systèmes de représentations sociales. Il s’intéresse aux mécanismes de l’organisation du réel objectif en réalités subjectives et aux passages ponctuels ou diffus entre différents niveaux de réalités (du vrai au faux, du référent à sa copie, du naturel à l’artificiel, du matériel à l’imaginaire…). Comment et pourquoi l’Homme construit-il des récits ? Quels rapport au monde ces récits induisent-ils ?
« Toute la vie des sociétés dans lesquelles règnent les conditions modernes de production s’annonce comme une immense accumulation de spectacles. Tout ce qui était directement vécu s’est éloigné dans une représentation. » La Société du Spectacle, Guy Debord, 1967
Principales expositions
– Exposition personnelle à l’Hypoyhèse du lieu dans le cadre de Photo Marseille (oct. 2020)
– Présélection PRIX POLYPTYQUE, exposition collective, Centre Photographique de Marseille (avr. 2019)
– Tous à la plage, exposition collective, 1 Cube, Marseille (juil.-août 2018)
– À Force, exposition collective, Atelier Hyph, Marseille (mai-juin 2018)
– Rêvez, exposition collective, Collection Lambert en Avignon (déc. 2016 – juin 2017)
– La Fourmilière, exposition collective, La Compagnie, Marseille (nov.-dec. 2016)
– Artagon II, exposition collective, galerie Passage de Retz, Paris (sélectionné par Mohamed Bourouissa, Chantal Crousel et Antoine Levi) (avr. 2016)
Résidences
– Travail Travail, résidence en entreprise chez HighCo, en binôme avec Kévin Cardesa, avec Mécènes du Sud, Art-Cade, Collective, l’ESADMM et le Ministère de la Culture (2019 – 2020)
Diplôme
– DNSEP, félicitations du jury, (Zahia Rahmani, Valérie Jouve, Paul-Emmanuel Odin, Malachi Farrell), École Supérieure d’Arts et de Design Marseille Méditerranée (2016)
Née à Beyrouth en 1978. Travaille entre Marseille et Beyrouth. Randa Mirza est une artiste visuelle travaillant principalement le medium photographique et la vidéo. Elle obtient en 2006 le prix No Limit aux Rencontres Photographiques d’Arles, un prix international qui récompense un photographe ou un artiste utilisant la photographie, qui par son travail, contribue à repousser les limites de l’expression photographique. Randa Mirza a exposé son travail en solo aux Rencontres d’Arles 2019, au Finish Museum of Photography (Finlande), à la galerie Sfeir-Semler (Hamburg), à la Galerie Tanit (Munich/Beyrouth) et au festival Photomed (Sanary-sur-mer/Beyrouth). Mirza a également participé à de nombreuses expositions collectives à La fondation Merz (Turin), au Witte de With (Rotterdam), au Zentrum fur Kunst und Medientechnologie – ZKM (Allemagne), au Winterthur museum (Swisse), à la galerie Kashya Hildebrand (Londres), à la galerie Isabelle van den Eynde (Dubai), au Beirut Art Center et au musée Sursock (Beyrouth). Mirza est représentée par la Galerie Tanit (Munich/Beyrouth).
Randa Mirza remet en question la notion d’identité : elle cherche à déconstruire et à questionner les représentations normées, genrées et orientalisantes en rendant visible les constructions symboliques, sociales et politiques actuelles. A travers son œuvre, Mirza interroge la nature des images et leurs utilisations sociales. Elle manipule l’image photographique pour révéler les discours inhérents à toutes représentations, à la frontière ténue entre fiction et réalité.Elisabeth Montagnier vit et travaille à Marseille. Formation : Académie Julian/ Met de Penninghen Paris ; Ecole nationale Supérieure des Arts Décoratifs Paris où elle choisit d’utiliser principalement la photographie dans son travail ; Ecole des Beaux-Arts de Marseille ; Différents stages aux Rencontres de la Photographie d’Arles. Sélection d’expositions : « SA MUSE » Exposition collective Musée Regards de Provence, Marseille ; « OFFRANDE » « BLUE PLANET » Expositions solo Galerie David Pluskwa, Marseille ; « PAPIER » Exposition collective Centre d’Art Contemporain de Briançon ; Expositions solo et collectives Galerie ToBart, Saint Barthélémy, Antilles ; « SYMBOLES ET SACRE » Musée d’Allauch. Actuellement Elisabeth Montagnier est représentée par la Galerie David Pluskwa, Marseille. Son travail est présent dans de nombreuses collections publiques et privées.
Elisabeth Montagnier est une photographe insatiable qui jongle avec fluidité entre travail de commande et œuvre personnelle. Une façon à elle d’échapper au carcan quotidien des photos publicitaires, dont elle utilise cependant certains codes. Chez elle, il n’y a pas d’instantanés. L’acte photographique nécessite réflexion, pause et décision. Ses images à l’aspect glacé et léché restent cependant ludiques, joyeuses et chargées d’émotions.
Dès son origine, le travail photographique de Fabrice Ney se caractérise par le choix de ses thèmes et la manière de les traiter: une unité territoriale à un moment choisi de son histoire saisie dans les détails révélateurs de ses enjeux. Privilégiant l’accumulation sérielle qui puise sa cohérence dans un cadrage rapproché des éléments constitutifs de l’environnement immédiat, l’accrochage au mur se présente sous des formes permettant des interprétations ouvertes, et pouvant s’articuler avec d’autres matériaux (scientifiques, sonores, poétiques…).
« Photographier nous invite à porter un regard licencieux et décalé sur l’essentiel du monde. Ce faisant, tout encadre cette activité pour, au contraire, la borner au convenable. L’acte photographique n’évolue-t-il pas dans le souci de cette tension?
Mais il est bien plus, peut-être, car nécessairement la question se pose de cette étrange conscience de voir. Notre regard n’a de cesse d’exciter la certitude de notre existence et au creux de cette certitude repose un point aveugle qui se dérobe.
Le photographe ne doit-il pas se perdre dans l’acte d’affleurement de cette expérience étrange et commune d’être au monde? Et, de cette expérience partagée, disparaître de la surface de l’image pour laisser place à l’insistance d' »un regard – sans personne »
Fabrice Ney – Un regard sans personne.
Il est diplômé de l’École Nationale Supérieure Louis Lumière en photographie, où il initie une démarche personnelle qui interroge les espaces, les territoires et leurs usages. Ses recherches explorent les rapports qu’entretiennent les objets de la banalité et les personnes avec les lieux dans lesquels ils s’inscrivent. La pluralité des dispositifs plastiques qu’il met en place, lui permet de garder un regard critique sur ses sujets.
Jouant d’allers retours entre l’histoire du médium et ses pratiques actuelles, les protocoles de prises de vue développés s’attachent, avec une dimension performative, à faire apparaître des images que seul l’outil photographique peut donner à voir. En 2004 lors d’une résidence à Niort il part à la redécouverte des paysages de sa prime enfance avec la série Des courbes de choses invisibles. En 2005, grâce au soutien de la Fondation de France, il réalise Un Trajecto Iberico, portraits et paysages, sur les autoroutes espagnoles, de la communauté d’origine marocaine sur le trajet de leurs vacances vers le Maroc.
En 2008 durant sa résidence au 104 avec Peau proche du bâtiment il questionne le rôle politique de l’absence de mobilier urbain dans les choix d’aménagement d’un quartier parisien dit «sensible». En 2015 il achève un travail sur les Iles du Frioul : Périgée au Frioul. Durant quatre ans, les nuits de pleine lune il part lourdement chargé de sa chambre 20*25 pour représenter avec l’éclairage lunaire ce territoire insulaire protégé. Il s’agit également de vivre l’expérience nocturne de ces paysages situés au «large» de Marseille, en produisant des images que seul le support photographique peut donner à voir.
Depuis trois ans il travail sur un projet dans le massif pyrénéen. Il y interroge les modalités de représentation d’un territoire de montagne en confrontant et en mixant des typologies iconographiques et photographiques plurielles. En explorant l’aménagement du territoire dans ses aspects historique et contemporain, les mythes constitutifs…
Les travaux de commandes de Sébastien Normand documentent les réalisations d’artistes, de plasticiens, de créateurs, de chorégraphes qui questionnent la place du corps dans l’espace physique, social et politique, de collectifs d’architectes qui interrogent et expérimentent l’acte de construire et d’habiter.
Né en 1965, vit et travaille à Marseille. Photographe hyperactif, il porte une attention toute particulière aux failles de notre temps et aux régions qu’elles abîment – dont l’espace intime des corps. Souci et poétique documentaires définissent son regard, qui longe sans cesse les lignes de partage entre l’habitable et l’inhabitable. Territoires, objets, techniques, gestes : l’accumulation joue un rôle important dans son œuvre. Il s’agit en quelque sorte de faire l’inventaire des formes et modes de vie ayant cours dans un monde globalement ravagé par le capitalisme, pour mieux cerner ses possibilités de réinvention – dont notre survie dépend.
« Ma démarche photographique allie un regard documentaire à une création artistique. Elle part d’une expérience, d’une mythologie personnelle, … et se construit à partir de contraintes. J’explore une société dans laquelle je suis, je vis et je m’inscris, du local au global. De façon transversale, j’aborde des questions autour des rapports que l’homme entretient avec son territoire. Un territoire que j’interroge dans sa modernité où se confrontent immuabilité et changement. Mon écriture photographique se construit dans un langage poétique nourri de récits photographiques subjectifs. Ces récits photographiques proviennent de différentes thématiques, préalablement définies et développées à travers les prismes de la mythologie, de l’histoire, de la sociologie, de l’anthropologie, de la poésie. Ils sont les moteurs d’une création multipliant et croisant les points de vue. Les photographies traduisent une durée et les multiples temps de l’histoire. Elles évitent toute forme de spectaculaire et s’écartent de tous les types esthétiques qui conditionnent notre regard. J’élabore ainsi une nouvelle géographie, plus humaine, plus sensible et personnelle, ma Géopoétique. Par le mélange des traitements photographiques (noir et blanc, couleur, petits, moyens et grands formats), par la diversité des supports de création (photographies encadrées, bâches, vidéo projection, dispositif sonore, carte géographique revisitée, tracés, documents d’archives, écrits), ainsi que par l’appropriation et la participation du public (exemple 5000 photographies sur une table ronde dans Ulysse ou les constellations), je renforce et j’élargis ma création sans jamais la figer dans une seule réalité ou une seule représentation. L’installation dépasse le cadre traditionnel de la photographie, recréant une cartographie personnelle, une autre circulation du sujet, un volume, un univers en trois dimensions où tous les supports sont liés et prennent un sens dans le dispositif. Pour compléter cet esprit nomade, je propose une œuvre qui offre une pluralité d’organisations permettant sans cesse de trouver des formes nouvelles et alternatives. Elle peut se modeler et s’adapter aux lieux d’exposition, s’enrichir de nouvelles créations et s’ouvrir ou se confronter à d’autres interprétations. L’œuvre, que je souhaite ouverte, se retrouve toujours en mouvement. » Franck Pourcel
Photographe auteure, Céline Ravier parcourt le monde principalement à pied depuis une vingtaine d’années. Au travers d’une photographie documentaire et esthétique, elle cherche à mettre en valeur l’homme dans son environnement. Ses photos et reportages ont été publiés dans la presse magazine (A/R Voyageur, Trek Magazine, Grands Reportages…) et présentés lors de nombreuses expositions personnelles et collectives. Pendant 3 ans elle a collaboré avec le collectif de la revue de photojournalisme « Vies de Quetzal ». Diplômée de l’École de Journalisme et de Communication d’Aix-Marseille (EJCAM), elle a publié en août 2019 « [Auto] Edition Photographique, enquête sur une mutation » aux éditions Arnaud Bizalion Éditeur. Cet ouvrage analyse les liens entre transformations actuelles du marché de l’édition photographique et émergence des nouvelles technologies éditoriales au service des photographes. Elle vit et travaille à Marseille.
Teddy Seguin est sorti de L’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles en 2002. Il se consacre dans un premier temps à la photographie de reportage dans laquelle il explore les univers clos. Ses reportages sont régulièrement publiés dans la presse nationale et internationale. Les microcosmes d’une mine dans les steppes Kazakh, d’un navire de pêche en mer de Barents ou d’un campement de chasseurs cueilleurs dans une forêt équatoriale constituent la base de son travail actuel.
A partir de 2010, il commence à réaliser des séries plus personnelles avec toujours cet intérêt pour l’insularité. La mondialisation réduit à présent les frontières qui séparent encore les “insulaires” du reste du monde. Pourtant, l’isolement, qu’il soit géographique, social ou culturel façonne encore des caractères forts et singuliers sur lesquels Teddy Seguin s’attarde dans ses dernières séries comme Outport, la Natividad ou lîle Castellane. Ces différents travaux sont regroupés dans un cycle encore en cours intitulé INSULAE.
– INSULAE –
A la manière des Insulaires de la Renaissance composés de cartes représentant exclusivement des îles du monde inconnu, le projet Insulae propose un atlas photographique sur le thème de l’insularité. A l’origine, Insulae met au défi l’objectivité supposée de la géographie par la proposition aléatoire et fantaisiste d’un archipel personnel d’îles éparses réelles et imaginaires, chacune d’elles devenant prétexte à un voyage. Le repérage de ces territoires insulaires, ne relève pas davantage d’une méthode rigoureuse qui présupposerait d’identifier sa situation, son éloignement d’un continent, sa forme ou son appartenance à un état.
Les photographies qui composent Insulae ne prétendent pas décrire une île en particulier mais davantage effleurer, à force de répétition, une idée d’île, son dedans et son dehors, la difficulté d’accoster, l’immersion dans un monde clos jusqu’à la tentative d’y assumer son altérité. D’une série à l’autre, un objet abandonné, l’expression d’un visage, l’embrasure d’une fenêtre, une perspective sont autant de signes qui fabriquent par leur récurrence, une matérialité du paysage insulaire. L’expérience intime de ces voyages, la rencontre et la découverte d’un territoire à priori hostile forment le terreau de la série Insulae. Dans le dernier volet de cette recherche, l’insularité retient la métaphore cartographique comme fil rouge du projet. Oasis, ghettos urbains ou villages isolés ne reproduisent-ils pas partiellement un modèle insulaire ?
Ces environnements ont-ils comme socle commun une tentative d’échapper à l’emprise de la société, de créer un rapport différent à l’espace et à l’autre ? De façon assez surprenante, l’étymologie de l’île, du latin insula qui définit une terre entourée d’eau est semblable à l’insula qui apparait au 1er siècle dans l’urbanisme de Rome et qui désigne un immeuble d’habitation collectif en opposition à la Domus, la demeure du maître.
Entité dynamique et paradoxale, espace à la fois immuable et fluctuant, image de l’Eden, terre de l’utopie ou de l’isolement, de la solitude et de la mort, l’île est une image mentale créée par le langage. Une autre expérience visuelle autour de deux territoires insulaires comme la cité de la Castellane à Marseille et la région montagneuse de Castagniccia en Corse poursuivent ce projet.
Doriane Souilhol vit et travaille à Marseille. Elle est diplômée de l’Ecole d’arts appliqués Duperré de Paris. Ses expositions récentes comprennent des projets à dimension internationale notamment la nuit des musées, Institut français, Hambourg (2019), Radiophrenia festival , Center for Contemporary Arts, Glasgow (2019) ainsi que L’intrigue se cherche dans le dénouement de son nœud, La Compagnie, Marseille (2018), et des performances lors de Nos désirs sont les vôtres, Triangle France, La friche, Marseille (2018), On the Tip of the Tongue, Musée d’Art Contemporain, Marseille (2018), kNOT I, public pool, cité internationale des arts, Paris (2018). Elle est lauréate du prix photographique Polyptyque (2018). Son travail est présenté dans des collections privées et publiques (FRAC, FCAC).
Son processus de travail se construit par le croisement de différents champs de savoir notamment les sciences et la psychanalyse. Elle mène une recherche autour de la notion de désir tentant d’approcher la manière dont il « prend corps » à l’origine dans le processus de pensée, de rêve, de création… Cela se traduit par une exploration attentive de la matérialité de l’image et du langage. Ses propositions se déploient en installations, sculptures, vidéos, images et projets éditoriaux Ses travaux récents s’ouvrent sur la pratique de la performance.
« Un principe d’inversion traverse toute l’œuvre de Michèle Sylvander. Là où l’on s’attendrait à y trouver un principe de projection de soi, comme une sorte de tentative d’élucidation et d’identification de l’être singulier, c’est toujours une inversion qui opère. Mais on en conviendra d’emblée : projection et inversion communient au sein de nombreux dispositifs de représentation. À commencer par celui de la chambre noire. Que ne sommes-nous pas habitués à cela ? Inversion de notre image dans le miroir, négatif/positif?, masculin/féminin?, haut/bas?, loin/proche?, devant/derrière?, vide/plein?, père/mère?, mort/vivant?
[…] Toute l’œuvre de Michèle Sylvander commence là, traite de cela, mais sur un mode d’objectivation inédit : en se retournant sur sa vie, il est possible de tout inverser, de tout recomposer, c’est-à-dire de tout réécrire. La vie commence à l’instant du retournement. Le temps de Michèle Sylvander est comme l’image qui se projette dans une chambre noire, répétons-le : une inversion (gauche-droite), un renversement (haut-bas) qui sont le réel projeté. Mais l’artiste ne redresse rien, elle observe cette projection qui n’est pas encore un enregistrement, elle la fixe dans ce stade spectral de l’inversion complète : ni négatif ni positif, ni vrai ni faux, ni présent ni absent, ni mâle ni femelle, ni jour ni nuit, ni humain ni animal, ni mort ni vivant. De là, elle parvient à nous faire lire le monde non plus sur le principe des oppositions distinctives — chaud/froid?, jour/nuit?, bien/mal? — mais selon ce qu’elle a mis au point : les inversions distinctives. » Michel Poivert, Des Histoires, catalogue éditions P., Marseille, 2015
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